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atelier

3 janvier 2007

Rêve causé par le vol d'une abeille autour d'une pomme grenade une seconde avant l'éveil

13/12/2006
           Analyse du tableau de Salvador Dali: "Rêve causé par le vol d'une  abeille autour d'une pomme grenade une seconde avant l'éveil"

C'est un tableau du peintre surréaliste Salvador Dali, en 1944; ce qu'on peut relever de ce tableau c'est premièrement la diversité d'espèces ou bien d'éléments significatifs comme; poisson, deux tigres, une femme nue, un fruit, un éléphant, un fusil et une abeille ; ces éléments qui se trouvent dans un cadre irrationnel et symbolique en même temps, ces éléments constituant le tableau se trouvent divisés selon trois plans; le premier ou il y a l'océan et la femme nue; ainsi la pomme et l'abeille, le deuxième plan c'est à partir de la frontière entre l'océan et le ciel ou se situe les deux tigres et le poisson et même le fruit, mais ce qui est remarquable c'est que ce plan et marqué par le couleur rouge qui peut être désigne la violence; avec un espace jaune qui signifie le labyrinthe et l'inconnu et même le monde infini.
Le 3ème plan qui est le plus haut, est marqué par le retour du couleur bleu ainsi qu'au premier plan sauf que celui-ci contient un mélange de ces trois couleurs: le bleu, le rouge et le jaune qui est plus ou moins le couleur de la femme nue, ce qui est aussi remarquable c'est la position instable de ces éléments, ces derniers entrant dans des relations irrationnelles.

                                                                                                            laila aitouhna
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3 janvier 2007

interview du journaliste YASSINE ZIZI avec RACHID NINI

12/12/2006
                     interview du journaliste YASSINE ZIZI avec RACHID NINI

Rachid Nini
Le célèbre chroniqueur d'Assabah n'aime pas trop sortir. Assez timide, la casquette vissée sur la tête dans une veine tentative de passer inaperçu, il essaie de nous convaincre d'aller dîner chez lui plutôt que dans un restaurant. C'est finalement à la Mamma, à Rabat, que nous nous retrouvons. Son choix : Soupe de légumes, lasagnes et crème caramel, le tout copieusement arrosé d'eau minérale.



Au début, vous vouliez aller dîner à « Bab El Had ». Pourquoi avoir changé d'avis ?

Au dernier moment, j'ai eu peur de me retrouver aux urgences.

Ça n'arrange pas les choses ici à la Mamma. Vous avez l'air gêné. Je n'aime pas manger dehors.


Et quand vous êtes invité ?

En général, j'évite. Je reçois plein d'invitations de toutes parts mais je n'y vais jamais.


Par snobisme ?

Wa lla. Il y a beaucoup de gens que je ne connais pas et les personnes « Mohtaramine », enfin ceux qui le croient, j'essaie de les éviter. Je crois que je suis un citoyen de mauvaise réputation. Quand je m'assieds à côté de ces gens, ils se taisent. Autant les laisser à l'aise, entre eux.


Le serveur arrive pour prendre la commande. Rachid Nini fait son choix et à la question : « un petit vin », il répond : Non, merci, je ne bois pas.


Pour de vrai ou pour l'interview ?v Je ne bois pas, je ne fume pas et je fais ma prière depuis l'âge de 10 ans.


Vous êtes chroniqueur à « Assabah » depuis trois ans. Tous vos papiers parlent du malaise de la société, d'où tirez-vous vos informations ?

Des citoyens qui m'écrivent ou qui m'appellent sur mon téléphone portable. Je reçois une centaine de mails par jour et le téléphone n'arrête pas. On m'écrit de Tanger à Lagouira et ça va du prisonnier de Oukacha, qui veut dénoncer les conditions de détention dans les prisons, au type qui est sur le point de se marier et qui veut mon avis en passant par la femme qui a un problème avec son époux et qui me demande conseil. Un vrai Diwane al Madalim.


Et de l'étranger ?

Des jeunes qui ont terminé leurs études et qui me demandent s'ils doivent rentrer…


Vous leur répondez quoi ?

Wayak dirha ! (Surtout pas).


Vous empêchez les cerveaux de rentrer. Non, de moisir ici plutôt. Je suis contre le slogan « Finkoum ». Avant de chercher à faire rentrer les gens, il faut d'abord leur assurer un bon accueil. Il n'y a pas d'infrastructures, pas de centres de recherche, pas de salaires honnêtes. On leur ment. Et s'ils veulent rentrer, il faut qu'ils soient un peu moins intelligents qu'ils ne le sont. En plus, s'ils se sentaient bien dans leur pays, ils ne l'auraient jamais quitté.

Un bip. Il reçoit un sms qu'il s'empresse de lire. Tenez, écoutez ça : « Je m'appelle Larbi Nini d'origine d'Oulad Berhil. Êtes-vous de ma famille ? ». Je vais lui répondre. Il envoie ce message : « Possible. Il y a un héritage ? »


Avec tout ce que vous recevez comme courrier, vous connaissez la température du pays. Comment va le Maroc ? Il a une fièvre chronique, un début d'asthme, la sous-alimentation le rend rachitique, il souffre d'amnésie et il a déjà subi une première attaque cardiaque comme signal. Vous savez, quand on a une première attaque cardiaque, la suivante se révèle toujours fatale.


Vu l'abondance de votre courrier, écire est davantage une charge qu'un plaisir. Pour moi, il y a longtemps que l'écriture n'est plus un luxe. Elle est devenue pour moi un outil pour dénoncer. Pas forcément le régime, l'Etat ou les défauts de notre économie, mais aussi le citoyen, la mauvaise éducation, la malhonnêteté la saleté et les magouilles. On est mal éduqués et si on commence à éduquer les gens dès maintenant, peut-être que dans 50 ans ça ira mieux.


Larbi Nini envoie un nouveau sms. Il m'écrit : « Je ne rigole pas ». Encore un qui n'a pas le sens de l'humour. Ca me rappelle nos ministres.


Justement, vous ne voulez pas les lâcher un peu ? Ils sont partout dans vos chroniques. Ce sont des personnages publics. Ils doivent assumer et s'ils veulent qu'on les lâche, qu'ils redeviennent « monsieur tout le monde ».


Mais vous mettez tout le monde dans le même panier… Jusqu'à preuve du contraire. Pour le moment, je n'en vois que quelques-uns qui justifient leur salaire, on peut les compter sur les trois doigts d'une main.


En tout cas, on ne peut pas dire que Benaïssa, El Malki, Sahel, Biadillah, Abbas El Fassi, Baddou, Bouzoubaâ, Achâari ou Douiri en fassent partie. Ça s'appelle de l'acharnement… Ce n'est pas de l'acharnement. C'est une approche satirique des activités du gouvernement. Que ce soit eux ou les lecteurs, personne n'y était préparé mais il faut qu'ils s'y fassent. Il faut que les responsables soient vaccinés contre les coups de gueule que ce genre de satire peut leur causer. Pour nous, c'est une sorte de thérapie et c'est la seule consolation. Eux, ils ont le pouvoir et nous, il ne nous reste que le sourire. Est-ce trop demander, un sourire dans un pays où le peuple a tant pleuré ?


Mais qu'avez-vous contre ce gouvernement ?

On n'a pas le gouvernement qu'on mérite.


Ou alors, on a justement le gouvernement qu'on mérite. On a voté, n'oubliez pas.

Oui, bien sûr, vous avez déjà vu les résultats des élections ?


Pas vraiment, non. Vous avez des nouvelles ?

Bel'êma. Walou.


Vous êtes souvent sollicité par vos lecteurs ?

Vous ne pouvez pas imaginer. Les gens vont même chez ma famille à Benslimane pour déposer des dossiers.


Ils demandent quoi ?

Souvent que justice soit faite, sinon ils cherchent du boulot et ils veulent que je leur en trouve. Je n'ai même pas réussi à régler les problèmes de ma famille…


Mais vous les aidez un peu ?

Je défends ceux qui méritent d'être défendus. Ceux-là, je suis prêt à aller en prison pour eux. Les malhonnêtes ou ceux qui subissent une injustice et ne réagissent pas méritent ce qui leur arrive.


Peut-être sont-ils impuissants ?

Il faut qu'ils apprennent à protester. Combien de femmes victimes de harcèlement sexuel au bureau gardent le silence ?

Elles risquent de perdre leur boulot si elles parlent. Il y a aujourd'hui des associations et des ONG qui prennent en charge ces dossiers. Et puis même, on peut sacrifier toute une génération pour que cela aille mieux après. Sinon, d'ici la fin des temps rien n'aura changé.


Quelle est la chose que vous n'accepterez jamais ?

L'humiliation. Toucher à la dignité de quelqu'un. J'ai déjà été humilié et j'ai préféré quitter le pays pour préserver ce respect de moi-même. Là où j'étais, j'ai nettoyé les chiottes et j'ai fait des boulots considérés au Maroc comme dégradants, mais toujours avec dignité. J'aurais pu rester ici et intégrer un parti politique pour y faire carrière… D'ailleurs on me l'a proposé à l'époque.


On peut savoir lequel ?

L'Istiqlal par le biais du journal « Al Alam ».


Pourquoi avez-vous refusé ?

Imaginez que je sois chez eux aujourd'hui et que Abbas El Fassi, qui a quatre suicidés sur la conscience soit mon Secrétaire général. Vous me voyez là dedans ?


Une petite sympathie pour un autre parti ?

Aucune. N'empêche que j'ai beaucoup de respect pour certaines personnes qui intègrent les partis.


Des noms ?

Pas la peine. Le seul avantage au Maroc c'est que tout se sait. Ghir dirha zina tewsel tewsel.


Pourquoi êtes-vous rentré d'Espagne ?

Mon combat est ici, parmi les miens.


Un brin de patriotisme ?

Une tonne. Même si certains essaient tous les jours, à chaque instant, de nous faire comprendre que nous ne sommes pas chez nous, on reste. Ils n'ont qu'à partir s'ils le souhaitent. Ça arrangera tout le monde, croyez-moi. En plus, avec leur passeport rouge-sang, ils n'auront pas à nettoyer les chiottes « chez eux ».


Votre chronique est l'une des plus lues au Maroc. On dit même que « Assabah » a triplé ses ventes depuis que vous êtes chez eux.
0 Il ne faut pas dire ça. Il y a de jeunes talents qui travaillent avec moi et tout le monde participe.


Pourtant, vos chroniques sont les seules à être photocopiées pour être vendues à 50 centimes pièce. Je suis fier de créer des emplois pour des jeunes à l'insu du ministère de l'Emploi.


Comment avez-vous trouvé le dîner ? Léger.


Pourtant au début je vous ai dit que vous pouviez commander ce que vous vouliez. Je mange léger le soir.



Yassine Zizi

3 janvier 2007

article journalistique tiré de l'opinion le mardi 12 décembre 2006 12/12/2006

  12/12/2006
article journalistique tiré de l'opinion le mardi 12 décembre 2006

Agression d’un enseignant à l’arme blanche en plein cours)
La sécurisation de nos établissements scolaires devient une urgence




Jeudi dernier, un jeune énergumène, fou furieux, armé d’un coutlas, fit irruption dans une salle de classe au collège Okba, sis au quartier Sidi Moussa à Salé. Menaçant le jeune professeur de mathématiques qui y donnait son cours de l’égorger, il offrait aux élèves un spectacle des plus effrayants et au reste de la société une piètre image de la sécurité dans nos établissements scolaires.
Plusieurs fillettes se sont évanouies en voyant les coups de couteaux que l’intrus assénait à leur professeur. Celui-ci n’avait d’autre choix que de sacrifier ses avants-bras en se mettant en garde de recevoir des coups mortels.

A la vue du sang, l’agresseur est sorti dans la cour où il se mettait à agiter son arme devant les élèves avant de prendre la fuite. Il fut arrêté le lendemain matin et on apprit qu’il s’agit du frère d’une élève qui avait une rancune contre son professeur pour une futilité quelconque.

L’élève en question fait partie de ces recalés qui, une fois renvoyés définitivement des établissements publics, trouvent moyen d’y retourner en adressant des "lettres de supplication" aux délégations du MEN. Or, c’est là une abération que les enseignants tiennent à souligner en rouge voire dénoncer. En effet, selon nombre d’enseignants, ces élèves qui ont raté toutes les occasions de poursuivre normalement leurs études dans les établissements scolaires publics, lorsqu’ils y remettent les pieds ce n’est guère pour se racheter ou rattrapper le temps perdu. Tout au contraire, étant forcément plus âgés que leurs camarades de classes ils les tiennent sous leur coupe, les empêchent de suivre les cours et rendent très difficiles à l’enseignant les conditions de travail. C’est à cause d’eux qu’en fait le professeur se voit acculé à faire le gendarme en classe et parfois rien d’autre que celà, faute de pouvoir s’acquiter de sa tâche.

Pour revenir à la question de la sécurité dans certains établissements relevant du MEN, il y a lieu d’insister sur la nécéssité de s’en préoccuper sérieusement. Aucun enseignant ou parent d’élève ne nous contredirait sur cette conclusion.

Enfin, souhaitons bon rétablissement au jeune professeur de mathématiques.

                                                                                              M. SEDRATI

                                                                       Edité le: mardi 12 décembre 2006

3 janvier 2007

ANALYSE DU TABLEAU DE L'ORIGINE DU MONDE DE COURBET

  12/12/2006

ANALYSE DU TABLEAU DE L'ORIGINE DU MONDE DE COURBET


L'origine du monde est un tableau réalisé par Gustave Courbet en 1866, il s'agit d'une représentation avec franchise une vision ou une photo du corps féminin, orientée par le sexe; et qui marque une allégorie très réaliste est la remise en question des valeurs morales; ainsi son objectif réside dans la présentation de la vérité telle qu'elle est.
Par conséquent, la position des cuisses montre l'érotisme de l'œuvre; ainsi, le fait de ne pas montrer le visage de la femme montre que c'est une vraie femme; sinon, Courbet a voulu préciser l'organe d’où l'Homme est venu, malgré que c'est une vision qui n'est pas assez claire; parce que l'origine du monde et avant tout est un contact entre l'homme et la femme.
Ce tableau choquant, est considéré aussi par les uns comme un tableau dégoûtant ; de même il est peut être fait exprès pour choquer celui qui regarde, et pour susciter le désir humain.
Finalement, on trouve que ce tableau est vraiment très loin de l'art et sans aucune raison.

laila aitouhna

3 janvier 2007

les responsables qui organisent les festivals d'Essaouira et Fès

07/12/2006

les responsables qui organisent les festivals d'Essaouira et Fès

FESTIVAL D'ESSAOUIRA GNAOUA & MUSIQUES DU MONDE
A3 communication - producteur et organisateur
237 Bd. Zerktouni - 1er étage - Casablanca - Maroc.
Tél : (+ 212) (0) 22 36 34 17 / (+ 212) (0) 22 95 07 67 - Fax : (+ 212) (0) 22 95 07 69
E-mail : a3.info@festival-gnaoua.co.ma
Festival de Fès de la musique sacrée
Pour tout renseignement, commentaire, veuillez adresser un email à:
Pour une information générale, veuillez contacter
Claudine Idrissi à festivaldefes@fesfestival.com
Pour les Rencontres de Fès, veuillez contacter
Btissam Alaoui à rencontresdefes@fesfestival.com
Pour une information concernant la presse ou les médias, veuillez contacter
Laila Sebbane à lsebbane@fesfestival.com
Pour tout commentaire ou problème technique,
veuillez contacter notre Webmaster.
Vous pouvez aussi envoyer directement un email en remplissant les renseignements suivants:
Festival de Fès
des Musiques Sacrées du Monde
Association Fès-Saïss
Sidi El Khayat BP 629 Fès-Médina
30200 - Maroc
Tél: 00 212 (0) 55 74 05 35 ou 55 63 62 99
Fax: 00 212 (0) 55 63 39 89

laila aitouhna
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3 janvier 2007

l'agence qui organise le festival de Gnaoua d'Essaouira

  05/12/2006

l'agence qui organise le festival de Gnaoua d'Essaouira 

FESTIVAL D'ESSAOUIRA GNAOUA & MUSIQUES DU MONDE

A3 communication - producteur et organisateur

237 Bd. Zerktouni - 1er étage - Casablanca - Maroc.

Tél : (+ 212) (0) 22 36 34 17 / (+ 212) (0) 22 95 07 67 - Fax : (+ 212) (0) 22 95 07 69

E-mail : a3.info@festival-gnaoua.co.ma

laila aitouhna
3 janvier 2007

les agences qui organisent le festival de Fès

de Fès  05/12/2006

les agences qui organisent le festival de Fès

Pour tout renseignement, commentaire, veuillez adresser un email à:

Pour une information générale, veuillez contacter

Claudine Idrissi à festivaldefes@fesfestival.com


Pour les Rencontres de Fès, veuillez contacter

Btissam Alaoui à rencontresdefes@fesfestival.com


Pour une information concernant la presse ou les médias, veuillez contacter

Laila Sebbane à lsebbane@fesfestival.com


Pour tout commentaire ou problème technique,
veuillez contacter notre Webmaster.

Vous pouvez aussi envoyer directement un email en remplissant les renseignements suivants:
Festival de Fès

des Musiques Sacrées du Monde
Association Fès-Saïss

Sidi El Khayat BP 629 Fès-Médina
30200 - Maroc
Tél: 00 212 (0) 55 74 05 35 ou 55 63 62 99

Fax: 00 212 (0) 55 63 39 89

laila aitouhna
3 janvier 2007

2006/2007: Rentrée de choc!

2006/2007: Rentrée de choc!  03/12/2006

2006/2007: Rentrée de choc!

C’est un article journalistique concernant la rentrée universitaire 2006/2007 ; rédigé pour l’atelier d’écriture.

C’est un article journalistique concernant la rentrée universitaire 2006/2007 ; rédigé pour l’atelier d’écriture.


2006/2007 : Rentrée de choc !


Dès l’ouverture de la faculté poly disciplinaire de Safi , le nombre d’étudiants se croit de plus en plus grâce à l’organisation qui est bien, malgré quelques problèmes surtout du corps enseignant, pourtant les possibilités offertes par la faculté restent encourageants…


Heureusement Safi gagne ! C’est dù à la réalisation du rêve souhaité par la ville, nommé la faculté poly disciplinaire de Safi et âgé de 3 ans. Même qu’elle n’est pas encore indépendante, cette vérité vécue est venue pour embrasser les étudiants de la ville, ces derniers sont divisés selon 11 branches, relevant du 3 champs ; sciences et techniques ; littérature, arts et sciences humaines et sciences juridiques, économiques et gestion. Parmi les possibilités offertes par la faculté, on trouve l’intégration des fonctionnaires constituant un pas très important.
Deux ans après, pendant la rentrée universitaire 2005/2006 ; le nombre d’étudiants inscris dans les filières est 1284 ; dont 55% sont des filles. En outre, la faculté subit un système pédagogique bien organisé malgré le manque des enseignants dans la majorité des filières, puisque le nombre des enseignants permanents est 68 et les enseignants vacataires sont selement50.
La grande surface de la faculté contribue à la construction des différents locaux d’enseignements par exemple : les amphithéâtres ; les salles de TD ; de travaux pratiques et les salles d’informatique ; la bibliothèque qui compte 7387 ouvrages, ainsi les salles de réunions etc.
Pendant la rentrée universitaire 2006/2007 ; la faculté commence ç s’agrandir par le nombre croissant d’étudiants et par l’obtention des premiers diplômes de licence contenant 6 semestres selon le système pédagogique de l’université, de plus, chaque semestre contient 4 modules, le nombre total d’étudiants arrive à 4381, parmi eux 3 étudiants étrangers.
Malgré la pénurie d’enrichissement du corps enseignant et d’autres problèmes qu’il faut régler, les capacités de cette jeune université reflètent un grand effort fourni pour transformer le rêve en une réalité vécue.


laila aitouhna
3 janvier 2007

Exercice concernant les différences culturelles

exercice cocernant les différeces  29/11/2006

Exercice concernant les différences culturelles

Gerard, prof de la langue française ; âgé de 58ans, a choisi de visiter Safi, je lui ai rencontré dans un cyber et j’ai fais avec lui cet interview :
Mon interview :

Laila ; bonjour monsieur, si possible, vous pouvez m’aider à faire une interview dans le domaine de la communication et ses intérêts ?

Gérard : bien sur ma demoiselle, qu’est ce que vous voulez savoir au juste ?

Laila ; ça concerne le rapport culturel entre Safi et votre ville d’origine

Gérard ; vraiment nous ne possédons que des églises votre culture est trop riche

Laila : qu’est ce qui vous attire ici ?

Gérard :l’atelier de poterie,le château de mer ,j’ai l’impression que c’est une ville de mille nuits et nuit avec son ambiance splendide c’est vraiment extraordinaire mais franchement je trouve que la ville est très marginalisée !

Laila ; et concernant le niveau comportemental ?

Gérard ; eh !bah les gens sont très aimables, à l’exception de quelque uns qui nous considère comme des étrangers ; mais il n’y a aucun échec de communication mais généralement les marocains sont agréables et généreux.

Laila : quelle est la particularité de Safi ?

Gérard : c’est qu’elle est calme riche au niveau patrimonial et commerciale en ce qui concerne la pèche, mais comme je dis mal conservée

Laila : et comment trouvez vous mon interview ?

Gérard : ha !ha ! Il me parait que vous etes raisonnable n’est ce pas ?

Laila : vous portez directement des préjugés monsieur Gérard ?

Gérard : c’est du à mon expérience personnelle, et mes voyages au Maroc

Laila : merci monsieur

Gérard : je vous en prie !

laila aitouhna
3 janvier 2007

Souffrance d'un château

article journalistique  29/11/2006

                                                      Souffrance d'un château



Le château de mer est un vrai monument historique de la ville de Safi qui souffre de l'insensibilité des responsables ce qui reflète la détérioration du monument qui est entrain de s'écrouler dans la mer sans un aide malgré les solutions proposées pour mettre fin à cette tragédie.



Est-ce qu'il y a toujours la chute après l'apogée? Malheureusement, il est constaté que le château de mer et la falaise Amouni qui le supporte sont touchés par des phénomènes naturels qui se complètent pour être les causes du recul de la falaise, menaçant ainsi le monument qui était un signe de la richesse, du développement et de la civilisation âgée de cinq siècles. Cependant, ce beau rêve est transformé en cauchemar qui menace non seulement le monument mais la civilisation entière après avoir un grand éclat de la citadelle portugaise dite"Castello Novo" qui est le château de mer.
Apres l'indépendance les autorités locales l'appellent en arabe"Kasr al Bahr", cependant les safiot préfèrent toujours l'appeler"Al burj".

La plupart des safiots pensent que l'indifférence et la marginalité de la ville rend le problème plus grave, puisque l'intérêt des responsables est toujours absent. En outre les modestes études qui ont été faites n'ont pas cerné le problème du recul de la falaise qui est toujours présent; il ressort que ce recul suit un processus qui se résume comme suit:
-la falaise se trouve exposée à un phénomène d'érosion mécanique et chimique due à l'action des vagues, en effet, la force des vagues et leur nature liquide favorise la dissolution des calcaires de la falaise ce qui met en haut en porte à faux, sans oublier d'autres causes comme le déferlement des vagues sur le front de la falaise, ce qui cause le vide qui est au pied de cette falaise.

Le diagnostic qui a été fait par le laboratoire public des essais et des études, L.P.E.E; montre, d'après l'archéologue et le monumentalist Saïd Chemsi, que l'instabilité de la roche qui supporte le monument constitue la vraie menace pour la bâtisse.
-Comment faire pour la sauvegarde du monument:
D'après les chercheurs, pour que le pied de la falaise sera envahi par la mer, il faut adopter une solution qui vise à éliminer l'érosion marine. Autrement dit, pour la protection de toute la surface de la falaise qui porte le château de mer, on aura recours soit à des digues en enrochement c'est-à-dire q'il s'agit de prévoir à l'intérieur de la mer des brise-lames constituées de digues en enrochement tout au long des trois cotés du monument;soit à un mur de protection en béton devant le rocher ouest pour stopper la dégradation du rocher due à l'action de la mer; soit à une jetée avancée en mer pour protéger la falaise à l'aide d'une longue jetée ayant l'aspect d'une digue de port.

Qui donc peut remontrer la beauté du château de mer pour voir encore une fois la clarté de la souris du monument le plus important de Safi et qui, malgré tout, insiste à survivre jusqu'à une réalisation d'études approfondies pour le sauver et pour le rendre parmi les unités hôtelières reflétant la gloire de la ville…

laila aitouhna
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